13 octobre 2008
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J'aime jamais comme j'ai peur de toujours,
C'est la même durée dans n'importe quel discours,
Deux syllabes chacun, une seule unité de temps,
Qui cimentent après, pendant, avant.
J'aime jamais comme j'ai peur de toujours,
Car tous les jours, jamais le soleil ne fait défaut,
Il se lève toujours même s'il ne fait pas beau,
Mais ne réchauffe jamais avec des nuages lourds.
J'aime le mais de jamais, et les jours de toujours,
Plus le temps passe, et jamais n'évolue le discours,
Mais jamais laisse toujours un mais, une possibilité,
Jamais reste à toujours, un joli pied de nez.
J'aime jamais, comme je pense toujours,
Qu'il est possible de jouer avec tout sauf l'amour,
Quand la chaleur des mots qualifie son discours,
Pour mon coeur en amour, c'est jamais .... ou toujours.
C'est la même durée dans n'importe quel discours,
Deux syllabes chacun, une seule unité de temps,
Qui cimentent après, pendant, avant.
J'aime jamais comme j'ai peur de toujours,
Car tous les jours, jamais le soleil ne fait défaut,
Il se lève toujours même s'il ne fait pas beau,
Mais ne réchauffe jamais avec des nuages lourds.
J'aime le mais de jamais, et les jours de toujours,
Plus le temps passe, et jamais n'évolue le discours,
Mais jamais laisse toujours un mais, une possibilité,
Jamais reste à toujours, un joli pied de nez.
J'aime jamais, comme je pense toujours,
Qu'il est possible de jouer avec tout sauf l'amour,
Quand la chaleur des mots qualifie son discours,
Pour mon coeur en amour, c'est jamais .... ou toujours.